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 Résumé de les infections nosocomial

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BENYEHIA HANANE

BENYEHIA HANANE


Nombre de messages : 3
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Localisation : ALGER
Date d'inscription : 22/05/2022

Résumé de les infections nosocomial  Empty
MessageSujet: Résumé de les infections nosocomial    Résumé de les infections nosocomial  Icon_minitimeJeu 7 Juil - 21:19

Résumé de les infections nosocomial  16572212
Résumé de les infections nosocomial  Screen11

LES INFECTIONS nosocomial.                          


1-Définition:
Les infections nosocomiales sont les infections contractées au cours d'un séjour dans un établissement de santé (hôpital, clinique…). Elle est aussi appelée infection associée aux soins. Ceci veut dire que ces infections sont absentes au moment de l'admission du patient dans l'établissement.
Une infection est dite nosocomiale si elle apparaît au cours ou à la suite d’une hospitalisation (ou d’un soin ambulatoire) et si elle n’était ni présente, ni en incubation à l’admission à l’hôpital. Ce critère est applicable à toute infection. Cette définition inclut les infections des patients comme celles des soignants. Elle ne préjuge ni de l’origine endogène ou exogène du micro-organisme responsable, ni du caractère évitable de cette infection.
Lorsque la situation précise à l’admission n’est pas connue, un délai d’au moins 48 heures après l’admission (ou un délai supérieur à la période d’incubation lorsque celle-ci est connue) est communément accepté pour distinguer une infection d’acquisition nosocomiale d.une infection communautaire. Toutefois, il est recommandé d’apprécier, dans chaque cas douteux, la plausibilité du lien causal entre hospitalisation et infection.
Pour les infections de site opératoire, on considère comme nosocomiales les infections survenues dans les 30 jours suivant l’intervention ou, s.il y a mise en place d.une prothèse ou d’un implant, dans l’année qui suit l’intervention. Cette durée est également admise pour le suivi d’un accouchement.
La pratique des soins à domicile peut aussi engendrer des infections. Ces infections sont considérées comme liées aux soins lorsqu’elles ne sont pas relatives à un séjour hospitalier ou un autre organisme de soins et développées au moins 48 heures après l’admission à la structure de soins à domicile.
2-Agents pathogènes:
Les agents en cause sont variés : bactéries, champignons, virus, parasites, ATNC.
Parmi les bactéries, les bacilles à Gram négatif représentent environ 60% des germes rencontrés, les cocci à Gram positif 30%.
L’origine du germe peut être exogène (provenir d’un autre malade, du personnel, de l’environnement) ou endogène (provenir du malade lui-même). Plusieurs mécanismes différents peuvent donc conduire à une infection nosocomiale.
Si tout doit être mis en œuvre pour éviter la survenue des infections endogènes comme exogènes, c.est essentiellement sur ces dernières que porte ‘l’effort de prévention en évitant la transmission des germes. La prévention des infections endogènes reste plus délicate.
3-fréquence des infections nosocomiales:
La fréquence globale des infections nosocomiales, mesurées par des études internationales, varie entre 5 et 10% des hospitalisés. Lors de l’enquête nationale de prévalence de 2001, le taux global de prévalence des infections nosocomiales était de 7,5% et le taux de prévalence des infectés de 6,9 infectés pour 100 patients hospitalisés.
Ces taux varient en fonction du type d’activité du service, du recrutement de l’hôpital, de la méthode de calcul des taux et de la qualité du travail de recueil des informations.
Il est utopique de penser qu’il est possible d’atteindre un taux nul d’infections nosocomiales. Il faudrait pour cela ne soigner que des patients dont le système immunitaire est fonctionnel, ne présentant pas d’autres facteurs de risque, chez lesquels aucun dispositif invasif ne serait utilisé et pour lesquels aucun geste invasif médical ni opération chirurgicale ne seraient réalisés.
Il existe donc un taux « incompressible » d’infections nosocomiales, qu.il faut s’efforcer de réduire au minimum par une technique rigoureuse et une attention constante des équipes de soins, du CLIN et de ‘l’équipe opérationnelle d’hygiène.
Les infections les plus fréquemment rencontrées sont, selon un ordre décroissant et d’après l’enquête nationale de prévalence 2001 :
- les infections urinaires
- les infections de la peau et des tissus mous
- les pneumopathies
- les infections de sites opératoires
4-Surveillance:
Dans le contexte de la surveillance épidémiologique, les critères de définition peuvent être différents des critères utilisés dans un contexte de diagnostic ou de traitement. En effet l’objectif n’est pas le même. On recherche dans ce contexte des critères utilisables dans des structures de soins différentes, tout en garantissant une reproductibilité maximale, avec une sensibilité et une spécificité évaluées et constantes.
A-INFECTION URINAIRE
Pour les formes symptomatiques les signes classiques sont les suivants :
- fièvre
- douleur
- envies impérieuses
- dysurie
- pollakiurie
- brûlures
- faux besoins
- mais aussi : douleurs irradiées, contracture abdominale, baisse de l’état général
La preuve est toujours microbiologique. L’Examen Cytobactériologique des Urines (ECBU)
B-infection de site opératoire:
L’ISO se définit par la présence de pus provenant d’une des localisations suivantes :
- partie superficielle de l’incisi
1-Définition:
Les infections nosocomiales sont les infections contractées au cours d'un séjour dans un établissement de santé (hôpital, clinique…). Elle est aussi appelée infection associée aux soins. Ceci veut dire que ces infections sont absentes au moment de l'admission du patient dans l'établissement.
Une infection est dite nosocomiale si elle apparaît au cours ou à la suite d’une hospitalisation (ou d’un soin ambulatoire) et si elle n’était ni présente, ni en incubation à l’admission à l’hôpital. Ce critère est applicable à toute infection. Cette définition inclut les infections des patients comme celles des soignants. Elle ne préjuge ni de l’origine endogène ou exogène du micro-organisme responsable, ni du caractère évitable de cette infection.
Lorsque la situation précise à l’admission n’est pas connue, un délai d’au moins 48 heures après l’admission (ou un délai supérieur à la période d’incubation lorsque celle-ci est connue) est communément accepté pour distinguer une infection d’acquisition nosocomiale d.une infection communautaire. Toutefois, il est recommandé d’apprécier, dans chaque cas douteux, la plausibilité du lien causal entre hospitalisation et infection.
Pour les infections de site opératoire, on considère comme nosocomiales les infections survenues dans les 30 jours suivant l’intervention ou, s.il y a mise en place d.une prothèse ou d’un implant, dans l’année qui suit l’intervention. Cette durée est également admise pour le suivi d’un accouchement.
La pratique des soins à domicile peut aussi engendrer des infections. Ces infections sont considérées comme liées aux soins lorsqu’elles ne sont pas relatives à un séjour hospitalier ou un autre organisme de soins et développées au moins 48 heures après l’admission à la structure de soins à domicile.
2-Agents pathogènes:
Les agents en cause sont variés : bactéries, champignons, virus, parasites, ATNC.
Parmi les bactéries, les bacilles à Gram négatif représentent environ 60% des germes rencontrés, les cocci à Gram positif 30%.
L’origine du germe peut être exogène (provenir d’un autre malade, du personnel, de l’environnement) ou endogène (provenir du malade lui-même). Plusieurs mécanismes différents peuvent donc conduire à une infection nosocomiale.
Si tout doit être mis en œuvre pour éviter la survenue des infections endogènes comme exogènes, c.est essentiellement sur ces dernières que porte ‘l’effort de prévention en évitant la transmission des germes. La prévention des infections endogènes reste plus délicate.
3-fréquence des infections nosocomiales:
La fréquence globale des infections nosocomiales, mesurées par des études internationales, varie entre 5 et 10% des hospitalisés. Lors de l’enquête nationale de prévalence de 2001, le taux global de prévalence des infections nosocomiales était de 7,5% et le taux de prévalence des infectés de 6,9 infectés pour 100 patients hospitalisés.
Ces taux varient en fonction du type d’activité du service, du recrutement de l’hôpital, de la méthode de calcul des taux et de la qualité du travail de recueil des informations.
Il est utopique de penser qu’il est possible d’atteindre un taux nul d’infections nosocomiales. Il faudrait pour cela ne soigner que des patients dont le système immunitaire est fonctionnel, ne présentant pas d’autres facteurs de risque, chez lesquels aucun dispositif invasif ne serait utilisé et pour lesquels aucun geste invasif médical ni opération chirurgicale ne seraient réalisés.
Il existe donc un taux « incompressible » d’infections nosocomiales, qu.il faut s’efforcer de réduire au minimum par une technique rigoureuse et une attention constante des équipes de soins, du CLIN et de ‘l’équipe opérationnelle d’hygiène.
Les infections les plus fréquemment rencontrées sont, selon un ordre décroissant et d’après l’enquête nationale de prévalence 2001 :
-  les infections urinaires
-  les infections de la peau et des tissus mous
-  les pneumopathies
-  les infections de sites opératoires
4-Surveillance:
Dans le contexte de la surveillance épidémiologique, les critères de définition peuvent être différents des critères utilisés dans un contexte de diagnostic ou de traitement. En effet l’objectif n’est pas le même. On recherche dans ce contexte des critères utilisables dans des structures de soins différentes, tout en garantissant une reproductibilité maximale, avec une sensibilité et une spécificité évaluées et constantes.
A-INFECTION URINAIRE
Pour les formes symptomatiques les signes classiques sont les suivants :
- fièvre
- douleur
- envies impérieuses
- dysurie
- pollakiurie
- brûlures
- faux besoins
- mais aussi : douleurs irradiées, contracture abdominale, baisse de l’état général
La preuve est toujours microbiologique. L’Examen Cytobactériologique des Urines (ECBU)
B-infection de site opératoire:
L’ISO se définit par la présence de pus provenant d’une des localisations suivantes :
- partie superficielle de l’incisi

Haridi kenza aime ce message

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