mohammedi yasmine modérateur
Nombre de messages : 14 Age : 28 Localisation : alger Date d'inscription : 20/04/2016
| Sujet: pneumopathie Ven 20 Mai - 12:44 | |
| 'appareil respiratoire est le système de l'organisme qui assure les fonctions respiratoires, en procédant à des échanges gazeux. Il permet d'aspirer de l'air, pour délivrer de l'oxygène aux organes et aux tissus, puis de rejeter le dioxyde de carbone. L'appareil respiratoire débute au niveau de la bouche et du nez, passe ensuite par le pharynx, le larynx et la trachée, pour aboutir dans les bronches et les alvéoles pulmonaires, qui se chargent de l'échange entre oxygène et dioxyde de carbone.
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oualid rima Supermoderateur
Nombre de messages : 31 Age : 27 Localisation : staoueli Date d'inscription : 18/04/2016
| Sujet: Re: pneumopathie Sam 21 Mai - 8:25 | |
| le sujet n'a aucune relation avec le titre vous n'avait pas mentionnez les pathologie pulmonaire | |
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mohammedi yasmine modérateur
Nombre de messages : 14 Age : 28 Localisation : alger Date d'inscription : 20/04/2016
| Sujet: Re: pneumopathie Dim 22 Mai - 12:33 | |
| - mohammedi yasmine a écrit:
- 'appareil respiratoire est le système de l'organisme qui assure les fonctions respiratoires, en procédant à des échanges gazeux. Il permet d'aspirer de l'air, pour délivrer de l'oxygène aux organes et aux tissus, puis de rejeter le dioxyde de carbone. L'appareil respiratoire débute au niveau de la bouche et du nez, passe ensuite par le pharynx, le larynx et la trachée, pour aboutir dans les bronches et les alvéoles pulmonaires, qui se chargent de l'échange entre oxygène et dioxyde de carbone.Les pneumopathies virales sont les pneumopathies les plus fréquentes. Il s'agit d'infections rencontrées sous la forme d'épidémie de pneumonie surtout durant l'hiver, au moment où le virus de la grippe présente une expansion maximale. Le début de ce type de pneumopathie est progressif. On constate d'abord la survenue d'une température de 38,5° à 39°. Le patient présente d'autre part des frissons, et un malaise général ainsi qu'une fatigue globale avec des myalgies (douleurs musculaires). Il existe une infection du nez et de la gorge, s'accompagnant d'une toux sèche (rhinopharyngite). L'auscultation permet, dans ce cas, chez quelques patients seulement, d'entendre des râles (bruits anormaux) au niveau des bronches et de petits crépitements à la base des poumons. La radiographie, qu'il n'est pas utile de pratiquer sauf chez les patients fragilisés, met en évidence des opacités au niveau des hiles c'est-à-dire à l'entrée des poumons. On constate quelquefois d'autre part, une petite inflammation des plèvres pulmonaires (membranes de recouvrement et de protection des poumons). Les analyses sanguines et plus particulièrement la numération formule sanguine c'est-à-dire le nombre de globules rouges, globules blancs et de plaquettes, montrent une origine virale. En effet, cette numération formule sanguine met en évidence une leucopénie (baisse du nombre des globules blancs : les polynucléaires neutrophiles.
La pneumopathie lobaire aiguë appelée également pneumopathie à pneumocoque présente un début brutal avec une élévation de la température corporelle jusqu'à 40° centigrades. Le patient se plaint de douleurs à l'intérieur du thorax. Ces douleurs sont accompagnées de frissons, de toux et d'expectoration. La pneumopathie lobaire aiguë est associée quelquefois à un herpès labial (bouton de fièvre). L'examen du patient, et plus précisément l'auscultation pulmonaire, permet d'entendre distinctement des râles crépitants (bruits anormaux survenant quand le patient respire). La radiographie des poumons met en évidence une opacité d'un lobe pulmonaire et les analyses de sang, plus précisément la numération c'est-à-dire le nombre de globules rouges, globules blancs et plaquettes, montre une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles (élévation d'une variété de globules blancs appelés les polynucléaires neutrophiles). Il est également possible de mettre en évidence, grâce aux hémocultures c'est-à-dire aux cultures de sang, des bactéries après avoir effectué un prélèvement sanguin. Ceci n'est possible que pour 30 % des patients. La bactériologie des crachats c'est-à-dire la recherche de certaines bactéries à l'intérieur des crachats n'est pas utile. D'autre part elle oriente quelquefois le diagnostic de manière érronée, à cause du grand nombre de bactéries présentes à l'intérieur de la bouche et de la gorge. C'est la raison pour laquelle il est préférable de réaliser une ponction qui se pratique à travers la trachée ou alors d'effectuer un prélèvement direct grâce à la fibroscopie pulmonaire. La fibroscopie consiste à introduire un tube souple à l'intérieur des voies aériennes supérieures puis des voies aériennes pulmonaires pour visualiser l'intérieur des cavités pulmonaires et éventuellement de procéder à un prélèvement à ce niveau. La fibroscopie pulmonaire ne se réalise que chez les individus présentant une pneumopathie grave ou chez les patients immunodéprimés comme c'est le cas à la suite d'une greffe, d'un déficit immunitaire, un sida ou un traitement anticancéreux.
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